
A la suite de sa tournée en Bretagne, le général Marescot, dans un rapport daté de 1807, constate, à propos du fort Cigogne, que le mur est trop faible pour résister au canon. Il faudrait, d'après lui, porter la garnison au chiffre de 120 à 150 hommes avec 10 à 12 bouches à feu, et, en tout, si on voulait armer trois batteries sur les autres îles, 250 hommes et une vingtaine de bouches à feu.(...)
La Commission, dite de la défense des côtes, constituée en 1818, s'occupa à plusieurs reprises des Glénans. Après avoir écarté le projet...
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